lundi 24 octobre 2022

Une Fondation culturelle Théophile Lognoné en cours de création


A vos idées et coups pour donner forme au projet de Fondation culturelle Théophile Lognoné :  https://fondationtheophile.wixsite.com/theophilelognone

TOUJOURS RECHERCHER L'INNOVATION 
 
Un modèle pour ériger: « un monument de philanthropie, où la science et l'art soient développés avec tous les progrès du temps ».
 
Quatre champs d'activité envisagés : 
 
1/ PROSPECTIVE
 
2/ TRANSMISSION DES SAVOIRS
 
3/ DIALOGUE DES CULTURES
 
4/ INNOVATION ENTREPRENEURIALE 

Une page facebook a été créée : https://www.facebook.com/Fondation-Th%C3%A9ophile-Lognon%C3%A9-108889908615487/?ref=page_internal

lundi 17 octobre 2022

Grottes lumineuses et mystérieuses de la Haute-Bretagne à Abu-Dhabi

 


La Goule ès Fées à Abu Dhabi ? Cette grotte marine située sur la commune de Dinard a-t-elle inspiré
Jean Nouvel et ses ateliers pour réaliser le Louvre à Abu Dhabi ? Les grottes lumineuses et mystérieuses
fascinent les architectes. Un lieu calme et complexe. Pour laisser reposer et transmettre la mémoire
de la Bretagne et son goût pour les découvertes ?

Connaissez-vous la Goules ès fées, près de Dinard, ou encore la Goule de Galimoux à Erquy ? A Saint-
Enogat (Dinard), l'escalier y menant taillé dans le roc à La Houle aux Fées présente une analogie avec le projet muséal d'avancement sur la mer imaginé dans le district culturel de l'île Saadiyat (« île du
bonheur ») à Abu Dhabi.


Avec son sable blanc qui s'étend le long d'un magnifique rivage, la magnifique île naturelle de Saadiyat,
s'étendant sur 27 kilomètres carrés, a subi une transformation remarquable. Elle abrite la plus grande
sélection d'établissements culturels prestigieux au monde, avec notamment le Louvre d'Abu Dhabi.
Bientôt, elle accueillera également le musée Zayed National et le Guggenheim Abu Dhabi. Tous ces
magnifiques espaces ont été conçus par les lauréats du prix d'architecture Pritzker. L'île peut
également être fière de ses deux magnifiques plages de sable blanc (qui accueillent et œuvrent à la
protection des tortues de mer gravement menacées). Un univers mystérieux ouvert au dialogue entre
Orient et Occident qui pourrait rappeler que les vents de la diplomatie des cultures avec la Perse ont
aussi emprunté l'univers nautique et insulaire de l'île de Batz, avec la Coupe Farah-Diba, en référence
au passage de la jeune princesse en pays Léonard.


2021 était l'année du Tricentenaire des Lettres persanes de Montesquieu. Curieusement, ce
tricentenaire n’a pas fait grand bruit en Bretagne. En 1721, Montesquieu faisait publier les Lettres
persanes anonymement et à Amsterdam, capitale du négoce des toiles de l'Europe du nord, ouverte
aux échanges avec le pays Léonard, alors plaque tournante du commerce des toiles de lin et de
chanvre. Il s'agissait à l'époque de contourner la censure. Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, tout ouvrage
devait obtenir le privilège royal pour être publié. 300 ans après sa publication, La diplomatie des
cultures et ce jeu subtil de miroir déformé demeurent.


Très jeune, Montesquieu s’était investi pour mettre fin aux brimades dont étaient alors victimes les
cordiers. Repoussés par la population par peur de la lèpre, ils étaient surnommés : les caqueux ou
cacous en Bretagne. Souvent associés à des descendants de lépreux, les conditions matérielles de ces
caqueux n'étaient pas toujours mauvaises. Les besoins en cordage pour la Marine étaient importants
et certains cordiers firent fortune.


Mais revenons à l'emblématique Louvre d'Abu Dhabi qui entend favoriser et solidariser l'esprit
d'ouverture entre les cultures. Premier musée universel du golfe persique, ce lieu d'inspiration vise à
bâtir une capitale de la créativité. Manarat Al Saadiyat donne vie à la vision de Saadiyat, en
encourageant les visiteurs à se rencontrer. Signifiant « lieu d'inspiration » en arabe, il accueille la foire
artistique d'Abu Dhabi et des ateliers de gravure, d'autoportrait, de théâtre, de dessin de figures et de
robotique.


Il n’est pas évident qu’il soit possible d’y accoster en bateau, de trouver des pontons pour y accéder à
pied depuis la côte, que l’on puisse y être accueilli comme un visiteur désiré pour visiter des collections
uniques, pour s’attarder dans des librairies tentatrices ou pour y déguster les thés, cafés et mets de la
gastronomie locale.


Il est inhabituel de trouver dans la mer un archipel construit. Il n’est pas fréquent qu’il soit protégé par
un parasol qui crée une pluie de lumières.

On raconte que les frères Lumière sont venus faire leurs premières expériences photographiques en
Bretagne, sur la côte d’Emeraude. N’est-il pas fascinant de croire qu’une caverne, lieu mythique dans
l’histoire des images, ait abrité l’origine de la photographie en couleur et du cinéma ? Les deux frères
cherchaient un lieu sombre pour développer leurs plaques photographiques. Et se seraient réfugiés au
fond de la grotte de la Goule aux Fées.


En 1881, Louis Lumière réussit à mettre au point les fameuses plaques photographiques sèches au
gélatino-bromure d’argent qui seront universellement connues sous le nom d’ « Étiquette bleue ».
Soucieux d’exploiter la trouvaille à une échelle industrielle, Antoine, le père, fait construire une usine
en bordure de Lyon (aujourd’hui rue du Premier-Film), hors des limites de l’octroi urbain et de ses
taxes imposées au charbon, au verre et aux produits chimiques.

Pour poursuivre la lecture sur les grottes lumineuses et mystérieuses, « Littérature orale de la Haute-
Bretagne » de Paul Sébillot. Le conte de la Goule aux fées y est relaté de la page 19 à 21 : Littérature orale de la Haute-Bretagne / par Paul Sébillot | Gallica (bnf.fr)
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6227577p/f49.image.r=%22goule%20es%20fees%22
 

NB : L’étymologie de Goule pour grotte marine, caverne, bien qu'attestée (le Goules ès fées, près de
Dinard, ou encore la Goule de Galimoux à Erquy) n'est pas très sûr.



On peut néanmoins voir un lien avec le terme plus répandu de Houle depuis toute la côte nord de la
Haute Bretagne jusqu'à la Normandie. (Houlegate par exemple) et qu'on retrouve probablement dans
le mot anglais "hole" qui viendrait de l'etymon norrois Holr (creux).


Goule vient du latin gula, qui donnera aussi gueule. Goule est très utilisé et n'a pas la valeur péjorative
de gueule. On l'utilise donc pour parler du visage (la goule ebaobée) de la bouche (en avoir plein la
goule) mais aussi comme de l'ouverture (la goule du pu, goule du four etc...).


Il est donc probable que la ressemblance des mots goule/houle est mené à une certaine confusion des
deux termes. Ainsi, sur la côte nord de la haute Bretagne, on trouve sans grande différence les 2 termes
pour désigner la même chose parfois même sur la même commune.


Au-delà de l'étymologie, Paul Sébillot en parle dans un de ses ouvrages. Il rapporte par ailleurs le conte
de la Goule ès fées (en gallo et en français). Dans le recueil "fées des Houles", on y trouve toutes sorte
de contes et légendes liées au grottes marines de Haute Bretagne.

lundi 10 octobre 2022

Histoire d'une famille d'inventeurs : Théophile Lognoné et les siens. Projet de court-métrage


Un projet de court-métrage "Les AVATARS de la Grande Rue des Stuarts" est en cours de construction par le réalisateur Camerounais Cidic Frank Mboumi. 

 

Des débuts dans l'horlogerie à l'invention active, la vie d'un innovateur, Théophile Lognoné (1895-1974)


 === Les motivations pour la recherche et l'innovation ===

Pour éviter une concurrence directe avec son frère horloger parti s’installer à Tours (Loir-et-Cher), la bijouterie-horlogerie de Théophile Lognoné choisit comme emplacement historique : la rue Grande-Rue-des-Stuarts à Dol-de-Bretagne.

La vitrine principale était consacrée à la marque suisse Zenith, dont Théophile Lognoné était l'un des détaillants. Aujourd'hui propriété du groupe de luxe LVMH, la marque Zenith fut récompensée par le Grand prix de l'Exposition universelle de 1900.

Parmi les personnalités ayant porté une montre Zénith, figure notamment le guide spirituel et politique Gandhi. Cette montre de poche en argent était devenue l'une de ses rares possessions matérielles et accompagnait son quotidien, signalant notamment ses heures de prière grâce à une fonction d'alarme.

Elle accompagna aussi Louis Blériot<ref>https://www.zenith-watches.com/fr_fr/brand/heritage-louis-bleriot</ref> lors de sa traversée de la Manche ainsi que d’autres pionniers de l’aviation dans leurs exploits, leur offrant un garde-temps précieux et précis malgré les conditions extrêmes de l’aviation. La marque Zenith fut fondée en 1865 par Georges Favre-Jacot qui sera le premier en territoire suisse à imaginer et à bâtir de vastes et lumineux bâtiments dédiés à l'horlogerie où le travail est contrôlé de bout en bout et industrialisé en s'inspirant du modèle de la Waltham Watch Company. Georges Favre-Jacot avait perçu les changements qui s'opèraient dans l'industrie horlogère, en particulier aux États-Unis où étaient construites des manufactures entièrement intégrées. Il s'informe et lit notamment le rapport de Jacques David lors de sa visite à l'Exposition universelle de Philadelphie en 1876.

En Suisse, l’horlogerie s’est implantée au milieu du XVIe siècle à Genève, où s’étaient réfugiés de nombreux protestants français et italiens. En 1541, le réformateur protestant français établi à Genève Jean Calvin interdit le port d’objets ornementaux, forçant les orfèvres et joailliers à se tourner vers un autre art, à savoir celui de l’horlogerie<ref>https://ich.unesco.org/fr/RL/les-savoir-faire-en-mcanique-horlogre-et-mcanique-d-art-01560</ref>.

=== Une formation technique à peine esquissée mais d'où naissent des passions ===

Théophile Lognoné observe dans la baie du Mont-Saint-Michel que les brisures de coquillages produisent des richesses nutritionnelles pour renforcer le calcium de coquilles d’œuf<ref>https://www.ouest-france.fr/normandie/granville-50400/sud-manche-il-a-valorise-les-liens-entre-terre-et-mer-6917073</ref>.

L’orfèvre observe alors les propriétés du calcium organique vivant. Ce minéral, présent dans le sable coquillier de la baie du Mont-Saint-Michel, permet de fertiliser des sols et d'améliorer la recherche en nutrition-santé<ref>https://fr.calameo.com/books/006557157fd24700327c6</ref>.

Théophile Lognoné va utiliser des micro-techniques d'horlogerie (réparation de montres-bracelets) pour exploiter ces minéraux marins. Pour accompagner ses découvertes, il se porte acquéreur d'un bateau : le Saint-Pierre, dont le nom faisait en référence à Césarée (Caesarea), l'ancien nom antique de Jersey qui était associé à différents personnages du Nouveau Testament : Pierre, Paul, Hérode, Pilate. Le nom Césarée pour désigner Jersey fut maintenu jusqu'à ce que l'Empire Romain se christianise et devienne Andium, forme latinisée désignant « la très grande (île) ». Jersey se trouvant bien être la plus grande des îles mentionnées dans l’Itinéraire d’Antonin qui se situe entre Aurigny et Ouessant.

=== Les débuts de l'aventure industrielle : une implication totale, un travail acharné ===

Il entend que le savoir-faire soit transmis de père en fils, de génération en génération pour innover. “Nous ne sommes pas une génération d’héritiers, nous sommes une génération d’entrepreneurs”. Il accorde une importance à la prospective et à la recherche appliquée : "L’horlogerie a besoin d’OPA : Oser, Préparer et Anticiper le monde de demain".

Il nourrit une culture de propriété industrielle avec des brevets. L'ensemble de ses procédés sont brevetés avant de les industrialiser. Enfin, il entend s'appuyer sur une forte émulation locale pour décloisonner l’innovation. La valorisation de nouvelles ressources liées à la mer a longtemps rythmé l'économie locale des cités corsaires de Granville et Saint-Malo.

Il observe avec intérêt le fonctionnement des usines Dior dans le négoce puis la fabrication d'engrais naturels. Pionnière de l'importation des guanos du Pérou et de la fabrication du guano dissous, la maison Dior a été aussi la première à vulgariser en France l'emploi des scories de déphosphoration qui sont mélangées à l'acide sulfurique . En 1860, celle-ci avait obtenu le marché de la récolte des boues domestiques de Granville, qu'elle revendait aux agriculteurs une fois transformées et fermentées.

=== La crise de 1936 renforce l'entreprise ===

Pendant la crise de 1936, sa découverte est récompensée par la prime d’honneur du ministère de l’agriculture. Il vient alors d'inventer un complément alimentaire naturel, capable de renforcer le calcium de coquilles d'œufs et d’approfondir de nouvelles recherches pour demain<ref>https://fr.calameo.com/books/006557157fd24700327c6</ref>.

Il y rend alors un hommage à l’œuvre de Victor Hugo, les Travailleurs de la Mer lors de son exil à Guernesey, dans lequel l'écrivain imagine la figure d'un roi Auxcrinier de l'Océan, qui aurait trouvé le bonheur dans ses États ; la constitution, dont il est l'auteur, refuse le droit d'entrée à l'or et à l'argent sans son autorisation : la seule monnaie ayant cours est le coquillage dont la mer est l'inépuisable coffre-fort.

L'intérêt porté au calcium de l’œuf par Théophile Lognoné, bijoutier-horloger, a été salué dans la mesure les œufs sont considérés comme des chefs-d'œuvre de la joaillerie. Les détails et le design qui les associent ont nourri un capital de créativité et d'imagination. L'Œuf à la poule est un œuf de Fabergé impérial, le premier d'une série de cinquante-deux, réalisé sous la supervision de Pierre-Karl Fabergé pour la famille Impériale Russe. La tsarine et tsar avaient tellement apprécié l'œuf qu'Alexandre III en commanda un nouveau pour sa femme à chaque période de Pâques.

Les œufs symbolisent aussi « l’amour éternel » de Marc-Antoine pour Cléopâtre.

=== Les réseaux de science et d'innovation, indispensables à la genèse de découvertes ===

L'entreprise va appuyer son développement depuis la Bretagne vers la Suisse, l’Allemagne, le Royaume-Uni.

Elle va aussi cultiver des partenariats atypiques : dans l'Allier, en particulier avec les moines de l'abbaye de Sept-Fons qui fabriquent la "Germalyne".

Théophile Lognoné va aussi développer des relations épistolaires avec la biologiste, Lucie Randoin, (1888-1960). Agrégée de sciences naturelles en 1911, à une époque où l’agrégation était réservée aux hommes, puis docteur ès sciences en 1918, elle est la première femme à enseigner en Sorbonne et rejoindre l'Académie de médecine.

Après le décès de Marie Curie en 1934, aucune femme n’est entrée à l’Académie de médecine avant Lucie Randoin. Un siècle plus tard, la place des femmes dans les institutions médicales reste congrue.

Les travaux de cette scientifique oubliée au parcours très atypique ont permis de développer des filières du territoire entre terre et mer [12]. Ses publications scientifiques ont permis de valoriser les apports de coquillages et minéraux marins.

En 1944, elle a conservé des sérums et vaccins de l'Institut Pasteur dans des sous-sols pour la Résistance. Avec la grande bascule de la pharmacie de la recherche chimique vers la biotechnologie, l’essentiel des nouveaux médicaments est issu en tout ou partie de travaux académiques.

=== Les villes-ports : une stimulation supplémentaire ===

D’importantes pénuries de coquillages en 1967 pour l’alimentation pour bétail ont conduit les industries Probiomer à s’approvisionner en farine de manioc de Madagascar auprès d’importateurs.

Le rôle des ports (Saint-Malo, Nantes, la Rochelle, Granville, Honfleur, Le Havre, Dunkerque, Marseille) a été décisif comme lieu d’innovation dans le domaine de la nutrition-santé.

Avec l'exemple du Hangar à Bananes, situé quai des Antilles à Nantes, la ville de Nantes a reconnu l'importance des industries Probiomer comme une boite à idées pour faire de Nantes une « Babylone » de l’agroalimentaire et du consommer autrement entre terre et océan.

Ce mouvement sera suivi par plusieurs figures du syndicalisme agricole. Un paysan Bouguenaisien encore très jeune, Henri Robichon, fondera l’Union des Syndicats Agricoles de Loire-Inférieure, connue pour son journal La Terre Nantaise. Il sera président de la coopérative agricole de Nantes.

Pour témoigner de cette évolution, des villes ports ont développé des outils de prospective comme la « Toile de la transition agricole et agroalimentaire» qui est présentée à la Halle aux sucres à Dunkerque.

En 1953, le premier service de diététique a été créé à l'Hôtel-Dieu de Marseille.

Après les changements du monde agricole d’après guerre, l’idée de se regrouper pour être innovant paraît de plus en plus pertinente.Ces villes-ports ont parfois joué un rôle de tiers-lieux maritimes précurseurs.

A ce titre, le Commissariat aux Transports Maritimes et à la Marine Marchande avait imaginé des programmes très ambitieux pour positionner les ports comme incubateurs-tremplin de l’économie circulaire. Ils représentaient une pièce d’un grand plan pour moderniser la France d'après-guerre, traumatisée par les pénuries alimentaires et aiguillonnée par l’avance des britanniques dans ce domaine. Pour rattraper son retard, la France voulait se doter de filières ultra modernes d’approvisionnement.

Les innovations de Pierre Lognoné (1930-2022) et la Vérité des Orangers


Pierre Lognoné, né le 2 mars 1930 à La Ville-Ès-Nonais (Ille-et-Vilaine) et décédé le 16 février 2022 à Saint-Jouan-des-Guérets (Ille-et-Vilaine), a été un innovateur dans le domaine de la nutrition-santé.

Il aimait partager l’histoire du Petit Prince de Saint Exupéry , la vérité des orangers, la parabole de l’enfant prodigue devant un auditoire jeune, trop jeune pour en retirer un quelconque enseignement.

"La vérité, ce n'est point ce qui se démontre. Si dans ce terrain, et non dans un autre, les orangers développent de solides racines et se chargent de fruits, ce terrain-là c'est la vérité des orangers. Si cette religion, si cette culture, si cette échelle de valeurs, si cette forme d'activité et non telles autres, favorisent dans l'homme cette plénitude, délivrent en lui un grand seigneur qui s'ignorait, c'est que cette échelle des valeurs, cette culture, cette forme d'activité, sont la vérité de l'homme. La logique ? Qu'elle se débrouille pour rendre compte de la vie."

Antoine de Saint-Exupéry

A la recherche de photos figuratives ou en mouvement

 


A la suite du décès de Pierre Lognoné, j'ai demandé à l'artiste colombien Rafa Padilla de réaliser un tableau-portrait qui associe des références symboliques à la Vérité des Orangers, le poème d'Antoine de Saint-Exupéry.

Une série de tableaux sur la famille

 

 

Une toile de Théophile Lognoné réalisée par l'artiste colombien Rafa Padilla

Les AVATARS de la Grande Rue des Stuarts



Un petit ouvrage à découvrir. Pour en faciliter la lecture, il s'agit d'un Flipbook très facile à consulter depuis sa tablette :
 https://www.flipsnack.com/895D6FFF8D6/les-avatars-de-la-grande-rue-des-stuarts.html